Le blog de Fañch

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lundi 9 février 2015

lundi 9 février 2015

Mélenchon et Tsipras

Mélenchon et Besancenot attendent de Tsipras la révolution

vendredi 26 octobre 2012

vendredi 26 octobre 2012

C'est la turlutte finale !

Mois après mois, nous partageons avec vous les chapitres de notre livre Ils se servent comme des porcs ! on se défend comme on peut ...

C'est la turlutte finale
6ème rubrique du deuxième chapitre - La France pays des Veilleuses - p.181


Jeune militante du NPA invite Trotsky à créer un nouveau parti anticapitaliste


Vous vous souvenez peut-être. Cette petite flamme d’espoir qui tremblotait fragilement dans les ténèbres de ce mois d’avril 2002. Nous étions plus d’un à tenter de nous requinquer comme nous pouvions entre le dégout de devoir se farcir la tronche de Le Pen au second tour et la honte grandissante devant la triste perspective d’avoir à plébisciter Chirac pour « sauver la République du fascisme ». Certains se sont noyés dans l’alcool, d’autres ont tenté d’apprivoiser le mal par le mal en hurlant à longueur de manifestations un désespéré et désespérant « j’ai mal à la France ! ». Une minorité enfin (dont les auteurs de ce bouquin font partie), tout en ne dédaignant pas le réconfort de la bibine, avait les yeux rivés sur l’extrême gauche.
Il y avait quelque chose d’un peu pathétique et d’un tantinet lourdingue dans notre manière de faire de l’arithmétique magique. « Besancenot 4,25%, Arlette 5,76%, Gluckstein 0,47%... putain la vache, ça fais presque 11% ! » Et nous n’avions pas peur de pousser La méthode Coué jusqu’au bout. « Si on ajoute Les scores de Noël Mamère et de Robert Hue ça monte à 19% ! Avec un candidat unique, la gauche radicale pourrait être au second tour ! ». Que nous étions touchants à nous agripper à la frustre et austère radicalité de Laguiller et encore plus fort à la jeunesse de Besancenot, nouveau représentant d’une gauche radicale que nous voulions percevoir de toutes nos forces capable de se remettre en question, dépoussiérée, dynamique, ouverte à tous les combats.

« Même le plus noir des nuages a toujours sa frange d’or », chantent les scouts. La volonté intacte de changer radicalement la société, la remise en question de toutes les poussiéreuses certitudes, le désir de dépasser les divisions obsolètes représentaient les trois minces filets d’or qui tissaient nos maigres espoirs. Ils nous aidaient à maintenir le cap au moment où le parti communiste se liquéfiait d’avoir trop fait la pute pour un PS qui se complaisait dans la défaite et dans le libéralisme comme un porc se roule dans sa propre merde. Nous estimions que la gauche radicale pouvait être le creuset de ce nouveau départ. Après presque dix ans de tentatives avortées et de fausses innovations, force est de constater que nous nous sommes lamentablement trompés.

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mardi 13 mars 2012

mardi 13 mars 2012

La Bomba Latina !

Deux fois par mois nous partageons avec vous une partie de notre livre Ils se servent comme des porcs ! on se défend comme on peut ... là, il s'agit de la rubrique consacrée à l'Amérique latine en ce début de siècle.
Vous pouvez aussi lire le livre en entier ici et/ou l'acheter :-)


La Bomba Latina
CHAPITRE I - Main basse sur la planète

Chavez le sous commandant Marcos et Morales explosent l'Oncle Sam

Heureusement la loose de la décennie 2000 n’a pas élu domicile sur les cinq continents. Il y a un endroit où les luttes sociales ne furent pas à marée basse.
Un monde dans lequel la baston semblait payer. Un espace où la détermination politique avait force de loi. Un théâtre d’affrontement d’où jaillissait des trésors d’inventivité politique et d’expériences nouvelles. Le contraste se faisait brutal entre cette explosion d’initiatives bigarrées et protéiformes qui partait dans tous les sens et l’uniformité sordide et fade de la mondialisation capitaliste. A la fin des années 1990, le continent sud américain s’éveillait en fanfare d’une longue nuit policière et dictatoriale.

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mercredi 12 août 2009

mercredi 12 août 2009

Thibault n'ira pas à l'Université du NPA, na !

Thibault refuse d aller a l universite d ete du NPA et prefere rencontrer Chereque

Par contre il n'oubliera pas de se rendre le 27 août à l'université d'été de la CFDT pour parler, non pas de la rentrée, mais de l'avenir du syndicalisme...

Agacée, la CGT n'ira pas à l'université d'été du Nouveau Parti anticapitaliste

Le ton est plutôt sec. La CGT a répondu par la négative à l'invitation du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) de participer à son université d'été, qui se tiendra du 23 au 26 août à Port-Leucate (Aude). Selon Alain Guinot, secrétaire confédéral, qui signe la lettre envoyée au NPA le 10 juillet, la CGT ne peut participer à un débat intitulé "quelles stratégies pour les luttes ?", qui conforte la CGT "dans l'idée qu'il y a entre nos organisations une divergence de conception sur nos prérogatives respectives".

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mardi 9 septembre 2008

mardi 9 septembre 2008

Besancenot soutient les travailleuses et les travailleurs de DOUX, Lorgeoux grimace...

Manifestation de Doux. La venue de Besancenot crée la polémique
Samedi, la manifestation prévue à 10 h, place du 11-Novembre, à Locminé, contre la suppression des emplois du site local du groupe volailler Doux, à laquelle toute la population est invitée, sera marquée par la présence du leader de la Ligue communiste révolutionnaire, Olivier Besancenot.

Les élus locaux absents

Une présence médiatique qui ne semble pas du goût de tout le monde à Locminé. Ainsi, le député Gérard Lorgeoux, vice-président du conseil général, le maire de Locminé, Grégoire Super, le président de la communauté de communes du pays de Locminé, Gérard Corrignan et le président de Saint-Jean-Brévelay Communauté, Léon Guyot, ont décidé de ne pas honorer de leur présence la manifestation. Les élus regrettent en effet « la politisation de cette action », tout en affirmant rester solidaires des salariés et de leurs familles. La manifestation reste néanmoins encouragée par la CGT de Locminé, le collectif antilibéral du pays de Pontivy. 04/09/2008 - Telegramme


Charles DOUX licencie après avoir empoché les aides publiques, et ce, tout en continuant à bénéficier de la politique du gouvernement du Medef (dont Gérard Lorgeoux, entre autres, est l'ardent défenseur). Mais voilà, il se trouve que les salarié-es ne se laissent pas faire, et se laisseront de moins en moins faire.

Pour rappel cliquez ici
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